Florent
« Nous sentons et expérimentons que nous sommes éternels », Spinoza dans l’Ethique
Ce 24/12, quand Samy envoie « journée horrible les amis », je m’attendais à une énième anecdote du grand Lokki. Ce choc, quand il nous annonce le décès de Florent. Et ce choc, à mi-chemin entre la colère et la tristesse, a du mal à passer alors je pose ici ces quelques mots pour en faire le deuil.
Punaise, PNY, c’est le « baby club ». Jusqu’à présent, et malgré quelques crises et déconvenues, PNY n’a été que joie, célébration et fête. Ce n’est pas dans la logique des choses que d’être déjà confronté à la mort. Et, pourtant.
Florent, pour ceux qui n’ont pas croisé son chemin, parlait beaucoup trop et souriait encore plus. Forcément, son histoire indienne nous avaient rapprochés mais, au-delà de ça, il était PNY, comme toi et moi : un petit mot pour chacun, des idées à rendre Nico fou, le plaisir de faire plaisir. A l’instar de chacun de nous, animé de cette fameuse envie d’avoir envie, il aura fait des milliers de pas, servi des centaines de clients, offert des millions de sourires.
Puis, il est parti comme il a vécu, en nous rappelant la beauté éphémère, mais heureusement perpétuelle, de la vie.
Florent, merci.


